Pourquoi les plantes médicinales populaires
Pourquoi utiliser les plantes médicinales, pour soi-même et pour faire du bien aux autres.Se fixer au village et la nature, pour jeter un coup d'œil sur l'état comparé des villes et des villages pour se convaincre à l'utilisation des plantes médicinales. c'est tout simplement du point de vue médical, de l'énorme écart qui existe entre les ressources des unes et celles des autres. Dans les villes, l'état social forme un corps dont toutes les parties distinctes, mais intimement liées, agissent et réagissent les unes sur les autres.
L'aspect de la misère agglomérée
Contraste du bien-être des riches
Prodiguant avec désintéressement les secours
Renoncé, à la pratique des aisés
Nature offre des résultats qui dépassent de beaucoup les espérances.
Nature ayant suffisamment pourvu chaque pays des secours
Faisons venir à grands frais des régions lointaines
Plantes médicinales sont récoltées avant leur parfait développement
Plante médicinale qui aime les montagnes et l'exposition du soleil
Suc épaissi préparé produisait constamment l'effet contraire.
Deux ans ne lui trouvera qu'une propriété purgative
Plantes qu'il nous importe le plus de connaitre.
Acquérir une science qui se grave dans la mémoire
Réalité et du degré de leur action sur l’organisme.
Remèdes que ceux qui sont adaptés à la circonstance.
La simplicité des préparations
Fournitures de médicaments souvent fort coûteux
Action physiologique et toxique, établie d'après les expérimentations
Les recherches des anciens et des modernes
Acore plante médicinale
L’acore est originaire de l’Inde
Stimulant aromatique et tonique
Efficace contre la dysenterie.
Aigremoine plante médicinale
Aigremoine allège les dysentériques
Contre les angines simples
L'aspect de la misère agglomérée
L'aspect de la misère agglomérée y excite la pitié, et sollicite des secours qu'il est presque toujours facile de se procurer. Les villes ont des hospices, des bureaux de bienfaisance, des caisses de secours mutuels pour les ouvriers, des associations, des hôpitaux, des dispensaires, etc.
Les villages sont privées de tous ces avantages et restent abandonnées à eux-mêmes, comme si, formant un peuple à part, elles n'étaient pas régies par les mêmes lois et ne devaient pas prétendre aux mêmes bienfaits.
Contraste du bien-être des riches
Dans le rurale, les gens, s'offre le contraste du bien-être des riches et de l'indigence des nombreux habitants qui n'ont d'autres biens que l'emploi de leurs forces. Si l'ouvrier des villages est moins à plaindre que celui des villes tant qu'il se porte bien, il est bien plus pauvre, plus écrasé par le malheur quand la maladie l'atteint.
Le plus souvent, alors, il souffre sans secours, lutte péniblement, ignoré et meurt silencieux et résigné dans une chaumière où le froid, l'humidité, la malpropreté se joignent aux autres causes de destruction. Le médecin assistent presque toujours seuls à ce déchirant au spectacle de la misère aux prises avec la maladie. Si l'un, représentant la pensée religieuse comme une immortelle espérance entre la terre et le ciel, est la première providence du village.
Prodiguant avec désintéressement les secours
L’autre, prodiguant avec désintéressement les secours et les consolations de son art, en est assurément la seconde. Quand, ne possédant par eux-mêmes que le strict nécessaire, ils ne peuvent faire, sous le rapport physique, tout le bien que leur suggèrent leurs bonnes intentions, réduits alors à solliciter des secours. À associer à leur dévouement quelques personnes charitables, ils deviennent, pour ainsi dire, les messagers de la bienfaisance.
Cet état déplorable des villages, qui réclame toute la sollicitude du Gouvernement, et auquel on ne remédiera que par l'établissement d'un service de santé gratuit .Ou être convaincu de la nécessité d'y faire de la médecine à bon marché.
Renoncé, à la pratique des aisés
Donc renoncé, à la pratique des aisés, aux médicaments d'un prix plus ou moins élevé, et aux préparations des remèdes naturels à base des plantes médicinales dont le luxe ne peut être payé que par le riche. Pour s'occuper de l'emploi si simple et si économique des plantes médicinales que la nature fait naître avec profusion autour de nous.
Sur nos rochers les plus stériles, an fond des ombreuses vallées, aux pieds de nos balsamiques sapins, sur les bords du ruisseau qui serpente inconnu dans la prairie. Comme le long du sentier qu'on gravissait tous les matins. Partout , dans cette nature on Récolte de la plante de la plante des espèces préférables, avec leurs sucs et leur naïve fraîcheur, à ces racines équivoques, à ces bois vermoulus que le nouveau monde échange contre notre or, et souvent contre notre santé.
Nature offre des résultats qui dépassent de beaucoup les espérances.
Cette nature offre des résultats qui dépassent de beaucoup les espérances. Et la comparaison faite entre les deux médecines des riches et celle des pauvres et juger les deux genres de médication. L'expérience a démontré plus d'une fois que l'on doit presque toujours préférer les plantes médicinales, lorsqu'elles offrent les mêmes principes médicamenteux, aux substances exotiques, souvent altérées par le voyage ou le séjour dans les magasins, plus souvent encore falsifiées par la cupidité.
Est la seule science dont les marchands se piquent. Les plantes les plus chères sont les plus maltraitées. L'abus est poussé à un tel point, que certains articles quadruplent de prix. On vend, par exemple, cent fois plus de leur prix et qui sont gratuit dans la nature.
Herboristes avides et peu consciencieux
On vend cinquante fois plus de résines les plus précieuses, les aromates, plantes, les bois sont presque tous contrefaits. Pour y parvenir on ajoute des bois analogues qui prennent un peu d'aromate par le contact, on les peint, on les colore, etc.
Non seulement on falsifie les substances exotiques dans leur pays natal, à leur arrivée, mais encore, quand elles sont d'un prix élevé, chez les herboristes avides et peu consciencieux.
Nature ayant suffisamment pourvu chaque pays des secours
Si dans tous les temps on a préféré les objets difficiles à obtenir, dans tous les temps aussi il s'est trouvé des hommes assez dévoués à leur pays et à l'humanité pour combattre ce préjugé. Tandis que les vrais remèdes se trouvent partout à la portée de la classe la plus indigente.
Nature ayant suffisamment pourvu chaque pays des secours
Ont prouvé que la nature ayant suffisamment pourvu chaque pays des secours nécessaires à ceux qui l'habitent, on peut, sans avoir recours aux substances exotiques, guérir les malades avec les remèdes tirés des plantes qui poussent à proximité.
Objectent que les plantes médicinales achetées de loin ou naturalisées sont peu énergiques ou infidèles dans leur action sur nos organes. Il suffit, pour réfuter la première objection, de rappeler que nous possédons des plantes amères, astringentes, aromatiques, purgatives, diurétiques, etc.
Faisons venir à grands frais des régions lointaines
Tout aussi actives que celles que nous faisons venir à grands frais des régions lointaines. Que nous avons l'aconit, l'arnica, la bryone, la belladone, la chélidoine, le colchique, la coloquinte, la digitale, les ellébores, l'élatérion, les euphorbes indigènes, la gratiole, la jusquiame, la laitue vireuse, la moutarde, le nerprun, le pavot et l'opium indigène, la pulsatile, la scille, l’Ergot du seigle, la Pomme épineuse, le tabac, les varechs et l'iode, la valériane, etc.
Précautions relativement au choix de plantes médicinales
La seconde objection n'est pas mieux fondée. La prétendue infidélité thérapeutique de nos plantes médicinales provient de causes que l'observation la moins attentive peut journellement constater, et qu'il est facile de faire disparaître.
Indépendamment de la diversité des effets produits par les médicaments quelconques, suivant l'idiosyncrasie des sujets et les circonstances morbides, dont la prévention ne tient aucun compte, nous ferons remarquer, dans nos grandes villes. Le défaut de soins et de précautions relativement au choix de plantes médicinales, à leurs Récolte de la plante de la plantes, à leurs conservations, à ses diverses préparations, etc.
Plantes médicinales sont récoltées avant leur parfait développement
Souvent, en effet, les plantes médicinales leurs sont récoltées avant leur parfait développement, ou lorsqu'elles ont perdu la plus grande partie de leurs facultés, par des gens qui n'ont d'autre instruction que la routine. Sont livrées à l'herboriste tantôt chargées de rosée, tantôt mouillées et rafraîchies pour les faire paraître plus récentes quand elles n'ont pas été vendues au marché précédent, et, dans cet état, elles s'altèrent au lieu de se conserver par la dessiccation.
Les malades les emploient d'habitude sans les faire examiner par le médecin, lequel peut seul constater leur identité, savoir si elles sont en bon état, s'assurer si elles ne sont pas récoltées depuis plusieurs années. Si elles ont été cueillies chacune dans la saison convenable. Dans l'exposition, dans le climat et dans le terrain qui leur sont propres.
Plante médicinale qui aime les montagnes et l'exposition du soleil
On cultive souvent dans les jardins les végétaux les plus disparates, pour éviter la peine de les aller chercher dans les lieux où ils croissent naturellement. Une plante médicinale aromatique qui aime les montagnes et l'exposition du soleil, se chargeant des principes au milieu desquels elle vit, devient aqueuse, se gonfle et perd les trois quarts de son énergie dans un terrain gras, trop humide, privé des rayons vivifiants du soleil.
Suc épaissi préparé produisait constamment l'effet contraire.
Les extraits de nos plantes médicinales fournis par le commerce d'herboristes, et dont les praticiens se servent, sont-ils toujours convenablement préparés et bien conservés ? Non, et j'en apporte pour preuve leur complète inertie dans des cas assez nombreux où un suc épaissi préparé produisait constamment l'effet contraire.
Parmi les causes auxquelles on peut avec raison attribuer l'oubli dans lequel sont tombées les plantes médicinales qui croissent sur notre région. C'est la négligence que l'on apporte généralement dans l'étude de la botanique médicale.
Si l'histoire naturelle et les diverses méthodes de classification des végétaux sont parvenues, par les travaux de nos scientifiques, au plus haut degré de perfection. Il n'en est pas ainsi de la science qui consiste à déterminer les propriétés thérapeutiques des racines d'asaret, par exemple.
Deux ans ne lui trouvera qu'une propriété purgative
Sera considérée comme le meilleur succédané de d'ipécacuanha par le praticien qui l'emploiera dans les six premiers mois de la Récolte de la plante de la plante, tandis que celui qui la mettra en usage après un ou deux ans ne lui trouvera qu'une propriété purgative, nu simplement diurétique.
Plantes qu'il nous importe le plus de connaitre.
La botanique, ne serait qu'une simple curiosité, si elle ne se rapportait à guérir et, quand on veut qu'elle soit utile, c'est la botanique de son pays qu'il faut étudier. Et cependant, chose à peine croyable, le plus grand nombre des praticiens ne s'occupent de cette partie essentielle de l'art de guérir que d'une manière très superficielle, ou y sont même d'une ignorance absolue.
On devrait exiger, dans les examens, la présentation d'un herbier contenant les plantes médicinales recueillies dans les herborisations. Chaque plante médicinale de cette collection serait accompagnée d'une notice exposant succinctement ses noms, sa classe, sa Déscription de la plante, le lieu où on l'a récoltée, l'époque de sa floraison et ses vertus.
L’utilisateur qu'il appartient d'employer les plantes médicinales.
Acquérir une science qui se grave dans la mémoire
La peine qu'on s'est donnée pour acquérir une science se grave dans la mémoire, et inspire presque toujours le désir de la mettre à profit. C'est surtout à l’utilisateur qu'il appartient d'employer les plantes médicinales.
C'est pour lui une ressource dont il peut d'autant plus facilement tirer parti, que l'homme des champs lui-même témoigne de la prédilection pour les simples. Les hommes qui appartiennent aux premières classes de la société, ont sur les propriétés des médicaments des préjugés qu'il serait dangereux de heurter.
N’allez pas leur prescrire ces végétaux, précieux
Ils aiment la multiplicité des remèdes, ils prennent pour de grandes vertus la singularité de leurs noms, leur rareté, et surtout leur prix élevé. N’allez pas leur prescrire ces végétaux, précieux, mais d'un emploi trop vulgaire, que la nature fait croître abondamment dans nos campagnes réservez-les pour le peuple.
Voulez-vous donner une haute idée de votre génie. N’ordonnez jamais que des remèdes extraordinaires, ou des substances amenées à grands frais des contrées les plus éloignées.
Réalité et du degré de leur action sur l’organisme.
Médecine populaire pratique et propre à atteindre le plus directement possible le but d'utilité que je me suis proposé. C'est l'expérience seule. Qui, en médecine populaire, peut confirmer ou détruire les opinions qui nous ont précédés. Aussi en médecine populaire est nécessaire de répéter des essais déjà tentés sur les propriétés de beaucoup de plantes médicinales, afin de juger par soi-même de la réalité et du degré de leur action sur l’organisme.
Également éloigné de la crédulité des anciens concernant les vertus de végétaux, et du dédain des modernes pour tout remède naturel qui ne vient pas d'un autre hémisphère. On cherche sans prévention la vérité .Car quelquefois on trouve dans les pratiques traditionnelles.
Qui ne sait, en effet, qu'un grand nombre de moyens préservatifs ou curatifs doivent leur origine à la médecine populaire. En exposant les propriétés de chaque plante médicinale, et particulièrement être attaché à préciser les cas qui en indiquent ou en contre-indiquent l'emploi.
Remèdes que ceux qui sont adaptés à la circonstance.
Il n'est de remèdes que ceux qui sont adaptés à la circonstance. C’est l'opportunité ou l'art de saisir l'occasion qui caractérise l'habileté pratique. Le devoir d'exposer les divers modes d'administration de la plante médicinale qui en est le sujet. Quoique les préparations indiquées soient quelquefois très-nombreuses. Mais on mit en usage dans la pratique que les plus simples et les moins coûteuses.
La simplicité des préparations
Employer de préférence l’infusion ou la décoction aqueuse, la macération dans le cidre, le suc exprimé dépuré ou épaissi par évaporation, la poudre mêlée avec du miel, dans un liquide ou en pilules, quelquefois l'extrait aqueux et la teinture alcoolique. La simplicité des préparations, économise l'argent du malade et le temps du praticien et de l'utilisateur.
Pour tout connaisseur, il avoir un seul désir c'est de rendre utile aux pauvres et pour ceux qui sont peu aisés. Et être payé par le bien qu’on peut faire, et par le suffrage des savants. Qui sont engagés, au nom de l'humanité, à poursuivre les recherches, et à contribuer de tous les efforts à la propagation des vérités pratiques dont il faut être toujours le défenseur.
Ils seront doublement récompensé par la principale destiné, adoptant des vues d'économie, de bienfaisance et de patriotisme, répandent l'usage des plantes médicinales qui croissent naturellement dans les champs et les forêts, que le monde les parcourent.
Fournitures de médicaments souvent fort coûteux
Impossible de subvenir aux fournitures de médicaments souvent fort coûteux et presque toujours faciles à remplacer par des végétaux qui pousse dans chaque pays, croissant naturellement et abondamment dans nos campagnes, les champs et les forets ou cultivés dans nos jardins, ont été les principales raisons des changements que l'on remarque dans ce moment actuel et tirés des anciens.
Ainsi, avant les considérations thérapeutiques, le lecteur, qui a besoin de connaître une plante pour l'employer, y trouve la désignation des familles, suivant les classifications naturelles, et la synonyme latine du végétal, ainsi que l'indication des contrées où il croit et des soins à lui donner, s'il exige une certaine culture.
Préparations des remèdes dont la plante entière ou quelques-unes
La Déscription de la plante détaillée et bien complète, la désignation des parties utilisées, les précautions à prendre pour la Récolte de la plante de la plante et pour la conservation, des notions sur la composition chimique et la proportion des principes élémentaires auxquels sont dus les effets thérapeutiques, consignes des préparations des remèdes dont la plante entière ou quelques-unes de ses parties seulement font la base, et les doses auxquelles on les emploie.
Action physiologique et toxique, établie d'après les expérimentations
Ensuite l'action physiologique et toxique, établie d'après les expérimentations sur l'homme et les animaux, et enfin les propriétés médicinales. L’énumération des différentes affections dans lesquelles on les a employées avec plus ou moins de succès. Puis, se livrant avec soin à l'étude de leurs effets thérapeutiques.
Les recherches des anciens et des modernes
On passe en revue les recherches des anciens et des modernes, enregistrant leurs erreurs comme leurs utiles découvertes. Et tâchant autant que possible de jeter un peu de jour sur les questions les plus obscures ou les plus controversées. Inutile de dire qu'il ajoute à ces recherches un grand nombre de faits nouveaux, dont la plupart lui sont propres et ont été recueillis dans une pratique de plus de quarante années.
Avertissement : La responsabilité incombe au lecteur et non au blog ou à l'auteur de l'article. En aucun cas les conseils et informations, qui sont sur ce blog "remede-plante.com" ne peuvent se substituer à une consultation auprès d'un médecin....