Camphre Guérit l'irritation des voies urinaires
Camphre, est très utile en cas de douleur de sciatique. Il est appliqué extérieurement par l'administration, d’une substance qui est opposée dans le plus grand nombre de ses effets. Pour tout patient tourmenté, depuis, d'une douleur de sciatique très forte.SOMMAIRE
Le calme de la première nuit
Plus de douleur à cause de la sciatique.
L'effet du Camphre dans un cas d'érections fortes.
La teinture de quinquina était abandonnée par le malade.
Camphre dans un cas d'ischurie vésicale.
Camphre dans an cas de rétention d'urine.
Camphre dans un cas de rétention de l'urine dans la vessie.
Au lieu de se soumettre au pansement qui exige le vésicatoire, par la méthode ordinaire. Il faut frotter la partie de la cuisse, d'où partait la douleur, avec quarante grains environ de mouches cantharides réduites en poudre très-fine, et macérer dans la salive.
Le calme de la première nuit
La friction devra administrée par une main vigoureuse, armée d'un gant de peau de daim, fut forte et pendant plusieurs fois. Le patient qui utilise ce remède externe, va ressentir l'effet assez ordinaire des cantharides sur les voies urinaires. Il fait souffrir que de la chaleur vive sur la partie frictionnée. La première nuit sera inquiétante, car l'opération sera pratiquée au moment de se mettre au lit.Le calme de la première nuit ne sera point rétabli à l'heure du réveil le matin. Il faut recommencer à frictionner la partie interne de la cuisse avec douze grains de camphre mêlé à la salive. Et dans un instant quand l'absorption sera faite quelques heures après, l'état sera moins pénible.
Plus de douleur à cause de la sciatique.
Il faut encore répéter la friction camphrée le soir et la nuit sera tranquille. Et au réveil, la douleur sera éliminée. Quant à l'effet local, que les cantharides ne déterminèrent sur la partie que de très-petites ampoules qui n'exigèrent aucun pansement. Elles procurèrent dans la cuisse et la jambe une chaleur incommode et profonde, qui peut rester pendant plusieurs jours.Mais plus de douleur à cause de la sciatique. Aucune n’éprouve de la plus légère atteinte de douleur. Car cette maladie qui est la sciatique est la plus redoutée elle procure du même côté, une claudication une boiterie avec une marche irrégulière et un amaigrissement considérable de la jambe, qui ne se dissipèrent que par l'usage d'eaux thermales.
L'action du camphre par l'absorption cutanée est très efficace qui est prouvée et paraissant démontrée. Toutes les fois, pour combattre une irritation sur les voies urinaires, par les mouches cantharides. Elle ne trompe jamais l'attente du patient. L'indication dans tous ces cas étant la même, et une même cause la faisant naître, inutile de rapporter les observations.
L'effet du Camphre dans un cas d'érections fortes.
Un homme âgé de quarante ans, d'un tempérament bilieux ayant le genre nerveux d'une excessive sensibilité entretenue et augmentée par un état qui exige beaucoup de contention d'esprit, et un travail soutenu de l’imagination, fut pris d'un rhumatisme qui portait particulièrement sur les nerfs.Une combinaison d'opium et de tartrate de potassium et d’antimoniate et donné dans l'intention d'exciter la sueur, et serve qu'à augmenter la rigidité, au point de rendre le malade perclus, en le mettant dans l'impossibilité de marcher et de se servir de ses bras.
Il se mit à l'usage de bouillons adoucissants, dont il offre quelque bien. Puis, il se met à frictionner l'épine du dos avec la teinture de quinquina et en continuant à utiliser les bouillons, quand peu à peu la gêne des mouvements fut moindre. Cet homme à put marcher, se servir de ses mains, et de vaquer à quelques occupations. Le lait d'ânesse substitué aux bouillons augmenta le mieux d'une manière sensible.
La teinture de quinquina était abandonnée par le malade.
On continuait à prendre le lait tend que l'estomac supportait, et qui donnait de l'appétit, le ventre étant vide, lorsque le malade fut pris, dès l'instant qu'il se mettait au lit, d'une érection si forte et si douloureuse, qu'il n'en dormait pas.L’érection qu'on pourrait désigner par les mots de priapisme nocturne, puisqu'elle ne cédait qu'au jour, quelque temps après le lever du malade. Son état se détériora par une suite de l’insomnie, ou par une distribution inégale des forces qui dérangèrent les digestions.
Par cette cause de ces dérangements de santé, il a été conseillé de frictionner sur la partie interne de chaque cuisse, avec douze grains de camphre mélangé à la salive. Après une utilisation de quatre jours de ce traitement et son emploi correctement, l'accident fut dissipé.
Camphre dans un cas d'érections fortes accompagnées de pollutions
Un homme d'environ quarante ans, très-bilieux, dans les premiers jours d'une convalescence il éprouvait, depuis plusieurs nuits, des érections accompagnées, dès qu'il se livrait au sommeil, de pertes considérables qui, quelquefois, se répétaient la même nuit.Camphre dans un cas d'ischurie vésicale blocage d'urine dans la vessie.
On lui conseilla de se frictionner sur la partie interne de la cuisse, avec huit grains de camphre mélangé à la salive. Il en employa seize, dont il se frotta les deux cuisses, il a eu un calme parfait. Il continua les frictions encore trois jours, à l'heure de son sommeil, mais à la dose prescrite, et le calme est revenu complètement.
Camphre dans an cas de rétention d'urine.
Une dame à l’âge de 50 ans l'époque de la cessation des règles d'un tempérament pituites-bilieux, ayant le genre nerveux extrêmement sensible, éprouva dans le cours d'une maladie gastrique, accompagnée de douleurs fixes à la courbure du colon, une suppression presque totale d’urines, elle ne les rendait que goutte à goutte, et avec beaucoup de souffrance : aucun des autres symptômes n'avait diminué.
On lui conseillé de faire une suite une friction sur la partie interne de chaque cuisse, avec six grains de camphre mélangée à la salive. Cette première application diminua sensiblement la douleur, et facilita les urines. Elle a répétée l'opération trois heures après, toute sensation douloureuse et tout l'embarras du côté des voies urinaires disparurent pour ne plus revenir.
Camphre dans un cas de rétention de l'urine dans la vessie.
Dans le cours d'une fièvre bilieuse rémittente. Le malade, avait fait usage du quinquina à forte dose pendant deux jours, le malade éprouvait depuis dix-huit heures le besoin d'uriner, avec gonflement à la région de la vessie, sans pouvoir uriner et satisfaire ses besoins.
On lui conseilla de frictionner avec quinze grains de camphre mélangé à la salive, sur la partie interne des deux cuisses, et de répéter les frictions deux heures après, en employant la même quantité de cette substance.
La première administration de ce moyen avait eu lieu, depuis une heure, lorsque le malade rendit avec quelques efforts, une assez grande quantité d'urine : peu de temps après la seconde, les urines coulèrent en abondance et librement.
Avertissement : La responsabilité incombe au lecteur et non au blog ou à l'auteur de l'article. En aucun cas les conseils et informations, qui sont sur ce blog "remede-plante.com" ne peuvent se substituer à une consultation auprès d'un médecin....
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